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saundersp 2025-03-11 14:43:31 +01:00
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@ -40,7 +40,7 @@ Et à partir de cette distribution, nous pouvons assigner un point $x_i$ du set
Avec ce changement intrinsèque dans la manière d'entraîner les modèles, nous avons avec ces distributions, plusieurs choix possibles comme : Avec ce changement intrinsèque dans la manière d'entraîner les modèles, nous avons avec ces distributions, plusieurs choix possibles comme :
\begin{itemize} \begin{itemize}
\item Classification : on peut inférer le label en calculant l'argmin de chaque divergence de Kullback-Leibler \citereferences{kl_divergence} pour toutes les distributions \item Classification : on peut inférer le label en calculant l'argmin de chaque divergence de Kullback-Leibler \citereferences{kl_divergence} pour toutes les distributions
\item Détection d'anomalie : chaque sous distribution est gaussienne, donc un calcul du z-score ($Z=\frac{x-\mu}{\sigma}$) permet de détecter une potentielle anomalie \item Détection d'anomalie : chaque sous distribution est gaussienne, donc un calcul du Z-score ($Z=\frac{x-\mu}{\sigma}$) permet de détecter une potentielle anomalie
\item Génération d'échantillons : avec les paramètres estimés de chaque distribution, nous pouvons utiliser un vecteur $\mathcal{N}(\mu',\sigma')$ pour générer de nouveaux vecteurs dans l'espace vectoriel estimé \item Génération d'échantillons : avec les paramètres estimés de chaque distribution, nous pouvons utiliser un vecteur $\mathcal{N}(\mu',\sigma')$ pour générer de nouveaux vecteurs dans l'espace vectoriel estimé
\item Apprentissage semi-supervisée : l'entraînement du modèle ne dépend pas de $Y$ donc nous pouvons entraîner le modèle avec le maximum de données non labellisé. Ensuite, en labellisant que certains points $X$ le modèle pourra déduire quels points sont les plus similaires et en conséquence les plus susceptibles d'être du même label. \item Apprentissage semi-supervisée : l'entraînement du modèle ne dépend pas de $Y$ donc nous pouvons entraîner le modèle avec le maximum de données non labellisé. Ensuite, en labellisant que certains points $X$ le modèle pourra déduire quels points sont les plus similaires et en conséquence les plus susceptibles d'être du même label.
\end{itemize} \end{itemize}

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@ -55,7 +55,7 @@
\end{definition_sq} \end{definition_sq}
\begin{definition_sq} \begin{definition_sq}
Soit $(G, +) \in \Ab$, on appelle $T$ \textbf{groupe de torsion} l'ensemble $T := \{ g \in G \mid \exists n \in \N, g^n = \Identity_G \} \subseteq G$. Soit $(G, +) \in \Ab$, on appelle $T$ \textbf{groupe de torsion} l'ensemble $T := \{ g \in G \suchthat \exists n \in \N, g^n = \Identity_G \} \subseteq G$.
\end{definition_sq} \end{definition_sq}
\begin{definition_sq} \begin{definition_sq}
@ -81,7 +81,7 @@
\langsubsubsubsection{Sous-groupe engendré}{Generated subgroup} \langsubsubsubsection{Sous-groupe engendré}{Generated subgroup}
\begin{definition_sq} \label{definition:generated_subgroup} \begin{definition_sq} \label{definition:generated_subgroup}
Un sous-groupe engendré est un groupe \ref{definition:group} générée par un élément $x$ d'un groupe $(G, \star)$ définie de la manière suivante : $\generator{x} := \{ x^k \mid k \in \Z \} \subseteq G$ Un sous-groupe engendré est un groupe \ref{definition:group} générée par un élément $x$ d'un groupe $(G, \star)$ définie de la manière suivante : $\generator{x} := \{ x^k \suchthat k \in \Z \} \subseteq G$
\end{definition_sq} \end{definition_sq}
\begin{proof} \begin{proof}
@ -186,7 +186,7 @@
\end{proof} \end{proof}
\begin{definition_sq} \label{definition:group_morphism_kernel} \begin{definition_sq} \label{definition:group_morphism_kernel}
Soit $(X, \star)$ et $(Y, \composes)$ ainsi que d'un morphisme de groupe $\function{\phi}{X}{Y}$. On appelle \textbf{noyau de $\phi$} l'ensemble $\ker(\phi) := \{ g \in G \mid \phi(g) = \Identity_G \}$. Soit $(X, \star)$ et $(Y, \composes)$ ainsi que d'un morphisme de groupe $\function{\phi}{X}{Y}$. On appelle \textbf{noyau de $\phi$} l'ensemble $\ker(\phi) := \{ g \in G \suchthat \phi(g) = \Identity_G \}$.
\end{definition_sq} \end{definition_sq}
\begin{theorem_sq} \begin{theorem_sq}
@ -263,7 +263,7 @@
\end{proof} \end{proof}
\begin{definition_sq} \label{definition:euler_indic_func} \begin{definition_sq} \label{definition:euler_indic_func}
L'indicatrice d'Euler est défini de la manière suivante : $q(n) := \# \{ n \in \N^* \mid m \le n \land \gcd(m, n) = 1 \}$, si $n = \prod\limits_{k = 1}^r p_i^{k_i} \implies q(n) = n \prod\limits_{i = 1}^r (1 - \frac{1}{P_i})$ L'indicatrice d'Euler est défini de la manière suivante : $q(n) := \# \{ n \in \N^* \suchthat m \le n \land \gcd(m, n) = 1 \}$, si $n = \prod\limits_{k = 1}^r p_i^{k_i} \implies q(n) = n \prod\limits_{i = 1}^r (1 - \frac{1}{P_i})$
\end{definition_sq} \end{definition_sq}
\begin{theorem_sq} \begin{theorem_sq}
@ -275,7 +275,7 @@
\end{proof} \end{proof}
\begin{definition_sq} \begin{definition_sq}
Soit $(G, \star) \in \Grp$ et $H \subgroup G$. Pour $a \in G$, on appelle \textbf{classe à gauche} de $a$ modulo $H$ ainsi que \textbf{classe à droite} de $a$ modulo $H$ les ensembles suivants $aH := \{ ax \mid x \in H \}$ et $Ha := \{ xa \mid x \in H \}$. Soit $(G, \star) \in \Grp$ et $H \subgroup G$. Pour $a \in G$, on appelle \textbf{classe à gauche} de $a$ modulo $H$ ainsi que \textbf{classe à droite} de $a$ modulo $H$ les ensembles suivants $aH := \{ ax \suchthat x \in H \}$ et $Ha := \{ xa \suchthat x \in H \}$.
Soit $x, y \in G^2$, on écrit donc Soit $x, y \in G^2$, on écrit donc
$$x \sim_g y \equivalence y \in xH \equivalence x^{-1}y \in H$$ $$x \sim_g y \equivalence y \in xH \equivalence x^{-1}y \in H$$
@ -399,7 +399,7 @@
\end{proof} \end{proof}
\begin{definition_sq} \begin{definition_sq}
Soit $(G, \star) \in \Grp$ et $K \normalSubgroup G$ et $H \subgroup G$. On définit $KH := \{ kh \mid k \in K, h \in H \} \subseteq G$ Soit $(G, \star) \in \Grp$ et $K \normalSubgroup G$ et $H \subgroup G$. On définit $KH := \{ kh \suchthat k \in K, h \in H \} \subseteq G$
\end{definition_sq} \end{definition_sq}
\begin{theorem_sq} \begin{theorem_sq}
@ -427,7 +427,7 @@
\end{proof} \end{proof}
\begin{definition_sq} \begin{definition_sq}
Soit $(K, \star) \in \Grp$. On appelle groupe des automorphismes \ref{definition:automorphism}, noté $Aut(K)$, l'ensemble $\{ \phi \in S(K) \mid \phi \in \hom(K, K) \} \subseteq S(K)$ Soit $(K, \star) \in \Grp$. On appelle groupe des automorphismes \ref{definition:automorphism}, noté $Aut(K)$, l'ensemble $\{ \phi \in S(K) \suchthat \phi \in \hom(K, K) \} \subseteq S(K)$
\end{definition_sq} \end{definition_sq}
\begin{theorem_sq} \begin{theorem_sq}
@ -655,8 +655,8 @@ $(A^{-1})^T A^T = (AA^{-1})^T = \Identity_n^T = \Identity_n$ et $A^T(A^{-1})^T =
Ensuite, en utilisant le coefficient $(1, 1)$ comme pivot, une succession d'opérations sur les lignes puis sur les Ensuite, en utilisant le coefficient $(1, 1)$ comme pivot, une succession d'opérations sur les lignes puis sur les
colonnes permet d'annuler tous les autres coefficients de la première ligne et de la première colonne : il existe colonnes permet d'annuler tous les autres coefficients de la première ligne et de la première colonne : il existe
des matrices de transvection cela permet d'affirmer qu'il existe une suite finie de matrices de transvection $M_k$ telles que des matrices de transvection cela permet d'affirmer qu'il existe une suite finie de matrices de transvection $M_k$ telles que
$A \prod\limits_{i = 1}^k M_i = \begin{pmatrix} 1 & 0 \\ 0 & A_1 \end{pmatrix}$ $A \prod\limits_{i = 1}^k M_i = \begin{pmatrix} 1 & 0 \\ 0 & A' \end{pmatrix}$
$A_1 \in GL_{n - 1}(\K)$, avec l'hypothèse $h$ on conclut l'hérédité. $A' \in GL_{n - 1}(\K)$ ainsi que $\det(A') = \det(A)$, avec l'hypothèse $h$ on conclut l'hérédité.
\end{proof} \end{proof}
\begin{theorem_sq} \begin{theorem_sq}
@ -724,7 +724,7 @@ Ainsi, nous avons montré que si $\rank{A} = n$, il existe une matrice inversibl
\end{definition_sq} \end{definition_sq}
\begin{theorem_sq} \begin{theorem_sq}
Le tuple $(SL_n(\K), \cartesianProduct)$ est un groupe \ref{definition:group}. $SL_n(\K) \normalSubgroup GL_n(\K)$
\end{theorem_sq} \end{theorem_sq}
\begin{proof} \begin{proof}
@ -741,7 +741,7 @@ Ainsi, nous avons montré que si $\rank{A} = n$, il existe une matrice inversibl
\begin{proof} \begin{proof}
Soit $A \in SL_n(\K)$, sachant \ref{lemma:inversible_matrix_reduction_dilatation}, il existe une suite finie de matrices de transvection $M_p$ que transforme $A$ en une matrice de dilatation $D_n(det(A))$, or comme $\det(A) = 1$ cela revient à la matrice identité, on peut donc en conclure que Soit $A \in SL_n(\K)$, sachant \ref{lemma:inversible_matrix_reduction_dilatation}, il existe une suite finie de matrices de transvection $M_p$ que transforme $A$ en une matrice de dilatation $D_n(det(A))$, or comme $\det(A) = 1$ cela revient à la matrice identité, on peut donc en conclure que
$$A \left(\prod\limits_{i = 1}^p M_i \right) = \Identity_n$$ $$A \prod\limits_{i = 1}^p M_i = \Identity_n$$
\end{proof} \end{proof}
\pagebreak \pagebreak

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@ -100,12 +100,12 @@ qu'on appelle \textit{inversion} de centre 0 et de rapport 1.
$$\norm{a - c}\norm{b - d} \le \norm{a - b}\norm{c - d} + \norm{a - d}\norm{b - c}$$ $$\norm{a - c}\norm{b - d} \le \norm{a - b}\norm{c - d} + \norm{a - d}\norm{b - c}$$
\end{proof} \end{proof}
Soit $u \in E$ tel que $\norm{u} = 1$ et soit $\alpha \ne 0$. Considérons $H = \{ x \in E \mid \innerproduct{x}{u} = \alpha \}$. C'est un hyperplan affine de $E$. Soit $u \in E$ tel que $\norm{u} = 1$ et soit $\alpha \ne 0$. Considérons $H = \{ x \in E \suchthat \innerproduct{x}{u} = \alpha \}$. C'est un hyperplan affine de $E$.
\item{Justifier que $0 \notin H$. En utilisant la question 3, montrer alors que $i(H) = S \setminus \{0\}$, où $$S = \lbrace x \in E \mid \Norm{x - \frac{1}{2\alpha}u} = \frac{1}{2\abs{\alpha}} \rbrace$$} \item{Justifier que $0 \notin H$. En utilisant la question 3, montrer alors que $i(H) = S \setminus \{0\}$, où $$S = \lbrace x \in E \suchthat \Norm{x - \frac{1}{2\alpha}u} = \frac{1}{2\abs{\alpha}} \rbrace$$}
% TODO Complete 6. % TODO Complete 6.
Soient $a \in E$ et $R > 0$. On note $S(a,R) = \{ x \in E \mid \norm{x - a} = R\}$ la sphère de centre $a$ et de rayon $R$. Soient $a \in E$ et $R > 0$. On note $S(a,R) = \{ x \in E \suchthat \norm{x - a} = R\}$ la sphère de centre $a$ et de rayon $R$.
\item{On suppose que $\norm{a} \ne R$. Montrer que $0 \notin S(a,R)$ et que $$ i(S(a,R)) = S(\frac{a}{\norm{a}^2 - R^2}, \frac{R}{\abs{\norm{a}^2 - R^2}})$$} \item{On suppose que $\norm{a} \ne R$. Montrer que $0 \notin S(a,R)$ et que $$ i(S(a,R)) = S(\frac{a}{\norm{a}^2 - R^2}, \frac{R}{\abs{\norm{a}^2 - R^2}})$$}
% TODO Complete 7. % TODO Complete 7.

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@ -21,7 +21,7 @@ Université Côte d'Azûr
\subsection*{Un premier exemple d'étude de système dynamique} \subsection*{Un premier exemple d'étude de système dynamique}
% Emmanuel Militon % Emmanuel Militon
Dans la théorie des systèmes dynamiques, on modélise un système qui dépend du temps (discret) à l'aide d'une application $\function{T}{X}{X}$. On appellera une telle application un système dynamique. Un point qui se trouve en $x \in X$ à l'instant $0$ se trouve en $T(x)$ à l'instant $1$ puis en $T^2(x) = T \composes T(x)$ à l'instant $2$ et ainsi de suite. On appelle orbite d'un tel système dynamique l'ensemble $\{ T^n(x) \mid n > 0 \}$. L'objet de la théorie des systèmes dynamiques est de comprendre le comportement asymptotique des orbites de tels systèmes. Dans la théorie des systèmes dynamiques, on modélise un système qui dépend du temps (discret) à l'aide d'une application $\function{T}{X}{X}$. On appellera une telle application un système dynamique. Un point qui se trouve en $x \in X$ à l'instant $0$ se trouve en $T(x)$ à l'instant $1$ puis en $T^2(x) = T \composes T(x)$ à l'instant $2$ et ainsi de suite. On appelle orbite d'un tel système dynamique l'ensemble $\{ T^n(x) \suchthat n > 0 \}$. L'objet de la théorie des systèmes dynamiques est de comprendre le comportement asymptotique des orbites de tels systèmes.
Dans ce sujet introductif, on va s'intéresser au cas où $X = [0, 1]$ et $T$ est l'application $\function{T}{x}{mx \mod 1}$, avec $m \ge 2$ entier. L'étude de ce système dynamique est étroitement relié à l'écriture d'un nombre en base $m$. On va chercher à comprendre quels sont les points périodiques de ce système (c'est-à-dire les points $x \in [0, 1]$ tels qu'il existe $n \ge 1$ avec $T^n(x) = x$). On va ensuite chercher, s'il en existe, des orbites denses dans $[0, 1]$ puis quels sont les ensembles invariants (les parties $F$ de $[0, 1]$ telles que $T(F) = F$ de sorte qu'une orbite qui démarre dans $F$ reste dans $F$). Ensuite, si le temps le permet, on va relier l'étude de ces systèmes dynamiques avec l'étude des systèmes dynamiques de la forme Dans ce sujet introductif, on va s'intéresser au cas où $X = [0, 1]$ et $T$ est l'application $\function{T}{x}{mx \mod 1}$, avec $m \ge 2$ entier. L'étude de ce système dynamique est étroitement relié à l'écriture d'un nombre en base $m$. On va chercher à comprendre quels sont les points périodiques de ce système (c'est-à-dire les points $x \in [0, 1]$ tels qu'il existe $n \ge 1$ avec $T^n(x) = x$). On va ensuite chercher, s'il en existe, des orbites denses dans $[0, 1]$ puis quels sont les ensembles invariants (les parties $F$ de $[0, 1]$ telles que $T(F) = F$ de sorte qu'une orbite qui démarre dans $F$ reste dans $F$). Ensuite, si le temps le permet, on va relier l'étude de ces systèmes dynamiques avec l'étude des systèmes dynamiques de la forme

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@ -55,7 +55,7 @@ De manière intuitive, on pourrait croire que prendre une sous-partie infini de
La sous-partie des nombres paires est définie par les nombres de $\N$ qui sont dites paires, autrement dit qui sont de la forme La sous-partie des nombres paires est définie par les nombres de $\N$ qui sont dites paires, autrement dit qui sont de la forme
$\N_{2} = \{2n \mid n \in \N\}$ $\N_{2} = \{2n \suchthat n \in \N\}$
Ou Ou
@ -129,7 +129,7 @@ $\functiondef{n}{\begin{cases}n \le 0 & -2n \\ \otherwise & 2n-1 \end{cases}}$
\langsection{Construction des rationnels $(\Q)$}{Construction of rational numbers} \langsection{Construction des rationnels $(\Q)$}{Construction of rational numbers}
%TODO Complete section %TODO Complete section
$\forall p \in \Z, \forall q \in \N^*, \frac{p}{q} \land PGCD(p,q) = 1$ $\forall p \in \Z, \forall q \in \N^*, \frac{p}{q} \land \gcd(p, q) = 1$
$\Q := (p,q) = \Z \cartesianProduct \N^*$ $\Q := (p,q) = \Z \cartesianProduct \N^*$
@ -399,10 +399,10 @@ Il existe une infinité de nombres premiers.
\begin{proof} \begin{proof}
\lang{Par preuve par contradiction, supposons que le set de nombre premiers set fini.}% \lang{Par preuve par contradiction, supposons que le set de nombre premier est fini.}%
{By proof by contraction, let suppose that the set of prime numbers is finite.} {By proof by contraction, let suppose that the set of prime numbers is finite.}
Let $\Pn := \{p \mid p \in \N^* \land p \text{\lang{ est premier}{ is prime}}\}$ and $\omega := (\prod\limits_{p\in \Pn} p) + 1$ Let $\Pn := \{p \suchthat p \in \N^* \land p \text{\lang{ est premier}{ is prime}}\}$ and $\omega := (\prod\limits_{p\in \Pn} p) + 1$
$\implies \forall p \in \Pn$, $\lnot(p \divides \omega)$ $\implies \forall p \in \Pn$, $\lnot(p \divides \omega)$
@ -412,7 +412,7 @@ $\implies \card{P} = \infty$
\end{proof} \end{proof}
\langsubsection{Irrationnalité}{Irrationality} \langsubsection{Irrationalité}{Irrationality}
\langsubsubsection{$\forall n \in \N, \sqrt{n}$ est soit un nombre premier ou un carré parfait}{$\sqrt{n}$ is either a prime number or a perfect square} \langsubsubsection{$\forall n \in \N, \sqrt{n}$ est soit un nombre premier ou un carré parfait}{$\sqrt{n}$ is either a prime number or a perfect square}
@ -427,7 +427,7 @@ The classical proof of the irrationality of 2 is a specific case of \ref{theorem
By contradiction let's assume $\sqrt{p} \in \Q$ By contradiction let's assume $\sqrt{p} \in \Q$
$a \in \Z, b \in \N^*, \text{PGCD}(a,b) = 1, \sqrt{p} = \frac{a}{b}$ $a \in \Z, b \in \N^*, \gcd(a,b) = 1, \sqrt{p} = \frac{a}{b}$
$\implies p = (\frac{a}{b})^2 = \frac{a^2}{b^2}$ $\implies p = (\frac{a}{b})^2 = \frac{a^2}{b^2}$
@ -443,7 +443,7 @@ $\implies b^2 = pc^2$
$\implies p \divides b$ $\implies p \divides b$
$\implies (p \divides b \land p \divides a \land \text{PGCD}(a,b)=1) \implies \bot$ $\implies (p \divides b \land p \divides a \land \gcd(a,b)=1) \implies \bot$
$\implies \sqrt{p} \notin \Q$ $\implies \sqrt{p} \notin \Q$

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@ -46,7 +46,7 @@ $(a, b)_K := \{\{a\}, \{a, b\}\}$
Unite all elements of two given sets into one. Unite all elements of two given sets into one.
\begin{definition_sq} \label{definition:set_union} \begin{definition_sq} \label{definition:set_union}
$A \union B := \{x \mid (x \in A \lor x \in B)\}$ $A \union B := \{x \suchthat (x \in A \lor x \in B)\}$
\end{definition_sq} \end{definition_sq}
Pour des ensembles finis : $\forall (E, F) \in \Cat(\Set)^2, \card{E \union F} = \card{E} + \card{F} - \card{E \intersection F}$ Pour des ensembles finis : $\forall (E, F) \in \Cat(\Set)^2, \card{E \union F} = \card{E} + \card{F} - \card{E \intersection F}$
@ -89,9 +89,9 @@ The axiom of choice implies the law of excluding middle.
Assume that $0 \ne 1$ (or any two elements that are not equal), Let $\Omega := \{0, 1\}$, $p \in \mathbf{Prop}$ Assume that $0 \ne 1$ (or any two elements that are not equal), Let $\Omega := \{0, 1\}$, $p \in \mathbf{Prop}$
$A := \{ x \in \Omega \mid x = 0 \lor p \}$ $A := \{ x \in \Omega \suchthat x = 0 \lor p \}$
$B := \{ y \in \Omega \mid y = 1 \lor p \}$ $B := \{ y \in \Omega \suchthat y = 1 \lor p \}$
$\implies 0 \in A \land 1 \in B$ $\implies 0 \in A \land 1 \in B$
@ -115,10 +115,10 @@ So by proof by cases $(p \lor \lnot p)$ which is the law of excluded middle \ref
Unite all common elements of two given sets into one. Unite all common elements of two given sets into one.
\begin{definition_sq} \label{definition:set_intersection} \begin{definition_sq} \label{definition:set_intersection}
$A \intersection B := \{x \mid (x \in A \land x \in B)\}$ $A \intersection B := \{x \suchthat (x \in A \land x \in B)\}$
\end{definition_sq} \end{definition_sq}
Pour des ensembles finis : $\forall E,F \in \Cat(\Set), \card{E \intersection F} = \card{E} - \card{F} + \card{E \union F}$ Pour des ensembles finis : $\forall (E, F) \in \Set^2, \card{E \intersection F} = \card{E} - \card{F} + \card{E \union F}$
Example : Example :
@ -136,10 +136,10 @@ $A \intersection B = \{c_0, \cdots, c_n\}$
Exclude elements of a set from a set Exclude elements of a set from a set
\begin{definition_sq} \label{definition:set_difference} \begin{definition_sq} \label{definition:set_difference}
$A \setminus B := \{x \mid (x \in A \land x \notin B)\}$ $A \setminus B := \{x \suchthat (x \in A \land x \notin B)\}$
\end{definition_sq} \end{definition_sq}
Pour des ensembles finis : $\forall E,F \in \Cat(\Set), \card{E \setminus F} = \card{E} - \card{E \intersection F}$ Pour des ensembles finis : $\forall (E, F) \in \Set^2, \card{E \setminus F} = \card{E} - \card{E \intersection F}$
\langsection{Fonction}{Function} \langsection{Fonction}{Function}

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@ -68,6 +68,7 @@
\newcommand{\subseteqpart}{\fbox{$\subseteq$}} \newcommand{\subseteqpart}{\fbox{$\subseteq$}}
\newcommand{\Lsubseteqpart}{\fbox{$\supseteq$}} \newcommand{\Lsubseteqpart}{\fbox{$\supseteq$}}
\DeclareMathOperator{\divides}{\mid} \DeclareMathOperator{\divides}{\mid}
\DeclareMathOperator{\suchthat}{\mid}
\DeclareMathOperator{\suchas}{\text{\lang{tel que}{such as}}} \DeclareMathOperator{\suchas}{\text{\lang{tel que}{such as}}}
\renewcommand{\function}[3]{#1 \colon #2 \longrightarrow #3} \renewcommand{\function}[3]{#1 \colon #2 \longrightarrow #3}
\newcommand{\functiondef}[2]{\hspace{15pt}#1 \longmapsto #2} \newcommand{\functiondef}[2]{\hspace{15pt}#1 \longmapsto #2}